diff --git a/01.curriculum/01.physics-chemistry-biology/04.Niv4/04.electromagnetism/04.electromagnetism-in-media/02.electromagnetic-waves-in-media/main/textbook.fr.md b/01.curriculum/01.physics-chemistry-biology/04.Niv4/04.electromagnetism/04.electromagnetism-in-media/02.electromagnetic-waves-in-media/main/textbook.fr.md index 9599a0456..91ac3d243 100644 --- a/01.curriculum/01.physics-chemistry-biology/04.Niv4/04.electromagnetism/04.electromagnetism-in-media/02.electromagnetic-waves-in-media/main/textbook.fr.md +++ b/01.curriculum/01.physics-chemistry-biology/04.Niv4/04.electromagnetism/04.electromagnetism-in-media/02.electromagnetic-waves-in-media/main/textbook.fr.md @@ -773,7 +773,7 @@ Ainsi $`\underline{k}`$ s'écrit pour une onde se propageant dans le sens "posit \underline{k} = \dfrac{1+i}{\delta} \, \text{ avec } \delta = \sqrt{\dfrac{2 \epsilon_0 c^2}{\sigma \omega}}. \end{equation} -$\delta`$ est appelé la profondeur de pénétration de l'onde dans le métal, exprimée +$`\delta`$ est appelé la profondeur de pénétration de l'onde dans le métal, exprimée en m. On est donc dans le cas d'une propagation avec atténuation de l'OPPM avec comme vitesse de phase $`v_\varphi = \omega \delta`$. L'indice de réfraction du milieu est donc défini par $`n' = \dfrac{c}{\omega \delta}`$. Ces 2 dernières grandeurs @@ -798,7 +798,7 @@ associées pour le cuivre massif._ Ceci nous permet de justifier l'utilisation du modèle du métal parfait, c'est-à-dire -un métal de conductivité infinie. Dans ce cas, $`\tau`$ tend vers $`0$, ainsi que $`\delta$. +un métal de conductivité infinie. Dans ce cas, $`\tau`$ tend vers $`0`$, ainsi que $`\delta$. L'OPPM est donc instantanément, et totalement atténuée dès son entrée dans le métal parfait. On considère alors qu'en tout point du métal parfait le champ électrique $`\vec{E}`$ est nul (et par conséquent le champ magnétique $`\vec{B}`$ aussi), et qu'il ne peut